Je veux bien que la GTMC soit une aventure, mais l'engagement technique & physique n'est pas nécessaire, les plaisirs du voyage à vélo sont (en partie) ailleurs...Garik a écrit :Non, ça n'a d'intéret que pour préparer une trace en dehors des sentiers battus sinon le guide Chamina, le balisage et les différentes traces trouvée sur internet (par exemple les miennes) suffisent largement.cyclomarin a écrit :pourriez-vous me dire si il est vraiment indispensable d'avoir toutes les cartes au 1/25000
faite avec seulement le guide et aucun pb
Il y a dix ans on faisait tous comme ça et ça le faisait.cyclomarin a écrit :Je partirai en VTT acier "Sunn" non suspendu![]()
Bon il faut quand même avouer qu'un semi-rigide ne serait pas un luxe car il y a quand même des descentes bien cassantes.
heu, sur le tracé chamina non, en semi rigide avec 5cm de déb' c'était largement ok (dont un sunn 5000)
Attention, il faut relativiser, nous partons en autonomie complète ce qui implique de pouvoir envisager tous les cas de figures, bivouac, ravitaillement et compagnie...cyclomarin a écrit :En lisant votre préparation j'ai comme l'impression que je suis liéger sur la préparation !!!
Mais attention la GTMC c'est quand même un morceau, c'est du vrai (j'aime pas trop dire ça) VTT ; les chemins sont pour la plupart roulant mais il y a de très nombreuses portions techniques, des descentes trial, des chemins cassants, etc...
pas vraiment en suivant la trace balisée, ça passe avec les sacoches...
Il faut quand même être préparé tan physiquement que techniquement. Je ne conseillerai pas à quiconque d'y aller le nez au vent en espérant que ça se passe bien car là pour le coup je suis sûr que ça se passerai mal...
heu, le corps humain s'adapte et en 3 jours le coup est pris...un cycliste "régulier" peut s'y lancer sans mal
Il faut aussi penser qu'un vélo ça casse donc il faut pouvoir se dépanner soit même...
La plus grosse difficulté est de prendre la décision de la faire, après c'est que de la randonnée.
Il faut juste avoir une base de "foncier", et encore il viendra après quelques jours.
L'épopée est plus dans les paysages traversés, les bivouacs, les points de vues, le sentiment de nature sauvage



On comprend le sens de persistance rétinienne...
ps : ceci est valable pour le topo chamina relativement accessible, après chacun sa cuisine, plus ou moins épicée
