5 jours autour du Sobrabe - J1 : Boltaña - Laguarta
All Mountain / XC : C'est la randonnée classique avec en général autant de dénivelé positif que négatif lorsqu'il s'agit d'une boucle. Les chemins sont roulants et l'effort est plus physique que technique. Il n'y a quasiment pas de portage et le parcours peut se réaliser avec un vélo semi rigide.
Enduro : L'intérêt du parcours est avant tout axé sur la descente (souvent technique voire engagée), la montée se fait par la route et/ou des chemins larges et le plaisir est à la descente. Vélo tout suspendu obligatoire.
DH / Gravity : Seule la descente se passe sur le vélo. La montée est faite via navette ou remontée mécanique. La difficulté de la descente est indiquée par des couleurs lorsqu'il s'agit de bikeparks. Vélo tout suspendu et protections du corps obligatoires.
Rando compatible VAE (VTT à Assistance Électrique) :
Vérifié : L'auteur l'a parcourue en VAE.
Possible : L'auteur ne l'a pas parcourue en VAE mais aucun portage n'est nécessaire. La rando comporte éventuellement des poussages.
Non : L'auteur ne l'a pas parcourue en VAE et des portages sont nécessaires.
Massif : Sobrarbe
Carte(s) - Editorial Alpina Sobrarbe Central (au 1/40000, carte spéciale VTT de la Zona Zero d'Ainsa, couvre les étapes 1, 4 et 5 ainsi que 2 pour partie)
- Editorial Pirineo Serrablo (au 1/40000, couvre les étapes 2 et 3)
Définition des niveaux :
Vert : Très facile, 1 à 3h, 8 à 15 km, pente <7 %, dénivelé < 300m, nature des voies A et B
Bleu : Facile, 2 à 3h, 15 à 25 km, pente <12 %, dénivelé < 300 à 500m, nature des voies B et C
Rouge : Difficile, 2 à 4h, 15 à 35 km, pente entre 7 et 18 %, dénivelé de 500 à 1000m, nature des voies B, C et D.
Noir : Très difficile, > 4h, > 35 km, pente entre 12 et 18 %, dénivelé > 1000m, nature des voies D et E
Nature des voies
A = voie goudronnée, revêtu ou empierré.
Praticabilité = très bonne revêtement roulant, croisement possible avec une voiture.
B = large chemin forestier, piste en terre, chemin d'exploitation.
Praticabilité = Bonne revêtement moins roulant herbeux caillouteux.
C = Chemin forestier ou agricole avec ornière ou zone humide.
Praticabilité = bonne à moyenne, croisement possible entre 2 VTT.
D = Vieux chemin entre murets, sentier quelquefois encombrés de cailloux, racines d'arbre, branche, rochers.
Praticabilité = moyenne à difficile, croisement difficile, largeur limité à 1 VTT.
E = Sentier muletier, pédestre, bande de roulage très réduite.
Praticabilité = difficile, encombrement latérale, sentier sur creusé, végétation importante, passage très étroit entre arbres et buissons.
Définition des niveaux :
La cotation site labelisé reproduit le niveau de difficulté associé par l'organisme responsable de la trace (Base VTT ou Bike Park).
Non coté - La trace ne fait pas partie d'un site labelisé
Vert - Très facile
Bleu - Facile
Rouge - Difficile
Noir - Très difficile
Double noir - Elite, en descente uniquement
Définition des niveaux :
Ce paramètre permet une évaluation de la difficulté globale du parcours (en VTT musculaire) selon 3 critères.
La distance (km)
1 = < 20
2 = 20 à 30
3 = 30 à 40
4 = 40 à 50
5 = 50 à 60
6 = > 60
Le dénivelée maximum entre la montée et la descente (m) :
1 = < 200
2 = 200 à 400
3 = 400 à 600
4 = 600 à 800
5 = 800 à 1200
6 = > 1200
Et la praticabilité (prendre le chemin majoritaire dans la course)
1 = Voie goudronnée, revêtue ou empierrée.
Praticabilité = Très bonne, revêtement roulant, croisement possible avec une voiture.
2 = Large chemin forestier, piste en terre, chemin d'exploitation.
Praticabilité = Bonne, revêtement moins roulant herbeux caillouteux.
3 = Chemin forestier ou agricole avec ornière ou zone humide.
Praticabilité = Bonne à moyenne, croisement possible entre 2 VTT.
4 = Vieux chemin entre murets, sentier quelquefois encombré de cailloux, racines d'arbres, branches, rochers.
Praticabilité = Moyenne à difficile, croisement difficile, largeur limité à 1 VTT.
5 = Sentier muletier, pédestre, bande de roulage très réduite.
Praticabilité = Difficile, encombrement latéral, sentier surcreusé, végétation importante, passage très étroit entre arbres et buissons.
6 = Sentier muletier, pédestre, bande de roulage très réduite en terrain pentu avec virage en épingle
Praticabilité = Difficile encombrement latéral, sentier sur creusé, végétation importante, passage très étroit.
La difficulté est alors calculée par le choix du maximum de tous ces paramètres.
Définition des niveaux :
Ces cotations ne s'entendent non pas comme la cotation maximale sur un passage, mais comme une moyenne sur toute la section. En matière de technique à VTT le spectre de pratique est si grand que quand c'est trop facile, trop large, on ne trouve pas de plaisir de pilotage, et au contraire si c'est trop technique on est à coté du vélo... La cotation technique est donc là pour vous situer et choisir des itinéraires à votre niveau, avec globalement le sentiment d'avoir pris plaisir à le parcourir (en dehors des autres plaisirs paysage/physique).
1 = Il s'agit de voies larges, pistes, ou de sentiers plus étroits, mais sans grande courbe, quasi plats ou pentus mais lisses ! S'adresse à toute personne sachant pédaler : Le placement sur le vélo n'a aucune importance, il faut juste rester en selle et pédaler pour garder son équilibre, et savoir freiner.
2 = Il s'agit de sentier larges, peu pentus et présentant peu d'obstacles. Le placement sur le vélo consiste à ce niveau à pencher le vélo pour prendre les virages (plus ou moins rapidement). C'est généralement le niveau des initiés , ou des débutants doués.
3 = Le sentier se fait étroit (30cm) et plus sinueux, mais toujours dénué de gros obstacles nécessitant un gros ralentissement. Le positionnement sur le vélo doit être plus précis : pied en bas extérieur dans les virages, aisance dans les épingles, passage en arrière du vélo dans les zones plus raides. C'est le niveau de la grande majorité des pratiquants réguliers. Sur le grand parcours de n'importe quelle randonnée organisée, on voit surtout des vététistes de ce niveau.
4 = En plus d'être étroit et sinueux, le sentier lui même présente des difficultés qui obligent à placer la roue dans quelques cm, de se positionner sur le vélo de manière précise, de savoir moduler son freinage pour passer lentement. On peut rencontrer des marches assez hautes qui nécessitent des capacités en franchissement, des épingles fermées, un terrain fuyant, une forte pente. C'est le niveau de beaucoup de vététistes qui n'aiment pas poser le pied et apprécient un certain engagement.
5 = Par rapport au niveau précédent la notion d'équilibre sur le vélo et de lecture du terrain monte d'un cran. Il ne s'agit plus de passer des obstacles au ralentit, mais d'être à la limite de l'équilibre. On est très proche du trial : épingles à passer obligatoirement en nose turn obligatoire, marches très hautes etc.
6 = On prend les difficultés du niveau 5 et on les additionne, c'est à dire qu'on peut combiner pente très raide avec épingles trialisantes !
Définition des niveaux :
L'engagement de la course inclut différents critères : le degré d'isolement, l'altitude, la longueur de la course et la dénivellation qui vont jouer sur l'état de fraîcheur du VTTiste et donc sur ses capacités physiques à négocier un passage délicat.
On peut aussi ajouter à l'engagement certains caractères influents sur le moral du VTTiste : la météo, la praticabilité du circuit. Il n'est pas toujours facile de rouler la peur au ventre en pensant aux blessures d'une chute éventuelle.
L'engagement est donc subjectif et évolue en fonction de la personnalité, de l'expérience et de l'entraînement du VTTiste.
1 = Faible
2 = Peu important
3 = Important
4 = Exposé
5 = Très exposé
6 = Extrêmement exposé
Définition des niveaux :
1 = Aucun poussage ni portage
2 = Petits poussages possibles (suivant son aptitude à grimper ou descendre)
3 = Poussage sur distance d'au moins 100m
4 = Petits portages de quelques mètres
5 = Portage de 10 à 100 m en distance
6 = Portage plus de 100 m en distance

3 mai 2025 -1°C - 7 °C

4 mai 2025 -1°C - 4 °C

5 mai 2025 -8°C - -1 °C

6 mai 2025 -8°C - -4 °C

7 mai 2025 -7°C - 0 °C
Après le Val Maïra italien l'an passé, c'est reparti pour notre traditionnel raid de la fin août, sur 5 jours à nouveau, dans les Pyrénées aragonaises cette fois. Le tout avec la double contrainte de trouver des lieux d'étape chaque soir (pour manger et dormir sans poids excessif à trimbaler) et d'inclure dans le parcours un maximum de monotraces (avec un minimum de portages-poussages). La dernière idée, enfin, était d'explorer des nouveaux coins, plus ou moins inconnus des sites d'infos spécialisés, situés entre les territoires d'Ainsa et de la vallée du Haut Gallego (parmi les plus connus d'Espagne en termes d'organisation et de développement de la pratique du VTT).
Pari tenu ! A force de parcourir le coin, il m'est devenu familier, ainsi que ses paysages, sentiers et auberges incontournables. Le circuit a donc l'intérêt de mêler des chemins classiques avec d'autres à caractère plus confidentiel, et de se dérouler chaque jour dans des terrains qui, quoique sauvages et dépaysants à souhait, se sont tous révélés remarquablement adaptés pour le vélo (pas de broussailles ou presque, pas de portage ou presque...).
Ce parcours peut en outre être aisément modulé : plusieurs commentaires ci-après indiquent comment raccourcir cette boucle (ou la diviser en 2 boucles de 3 jours) ou la rallonger de plusieurs étapes. Dans tous les cas, ce circuit confirme que le secteur du Sobrabe (et ses confins : sierra de Guara, région du Serrablo, vallée de la Fueva...), grâce au travail de remise en état de ses chemins ancestraux, est devenu l'une des plus belles régions d'Europe pour la pratique du VTT enduro... Il faut venir et revenir car la zone est immense entre les communes frontalières (comme Bielsa, Gistain, Torla...), la sierra de Guara (avec ses canyons distribués autour d'Alquezar, Rodellar, Nocito...) et d'autres secteurs de villages perdus, de belvédères de rêve et de sentiers "régals" (vallée de la Fueva, Somontano...).
Au programme des 5 jours...
1/ Environ 190 km, ainsi découpés :
1. Boltaña - Laguarta (35,6 km)
2. Laguarta - Yebra di Basa (51,8 km)
3. Yebra di Basa - Broto (42,6 km)
4. Broto - Albella (38,8 km)
5. Albella - Boltaña (21,8 km)
Notre moyenne horaire a tourné quotidiennement autour de 7,5 km/h, vitesse qui peut être notablement améliorée mais qui correspond néanmoins à un rythme non ridicule dans ce type de terrain...
2/ La carte « Editorial Alpina » de la Zona Zero est, de manière générale, fiable et précise. Les autres cartes du secteur sont en revanche d’un usage plus aléatoire (certaines pistes n’y figurent pas, d’autres sont mal reportées ou apparaissent encore alors qu’elles ont presque disparu…). Par ailleurs, le dépliant de la Zona Zero d'Ainsa (qui coûte 2 euros), celui de la Zona Zero annexe (rio Ara) et enfin le site internet bttpirineo.com (qui couvre les deux secteurs) constituent une ressource documentaire également précieuse dans ces parages. Toute cette manne d'information est disponible au magasin Intersport d'Ainsa (en basse ville, à quelques pas de son carrefour central), dont les responsables et techniciens sont pour une large part à l'origine de la création des itinéraires de la région (point de dépannage indispensable à connaître ; on peut y trouver à peu près tout...)
3/ Les hébergements sont de qualité très correcte et sont, en particulier, plus confortables que les gîtes d’étape français (pour un prix en moyenne inférieur). Petite déception néanmoins à Yebra, compte tenu d’un inattendu concours de circonstances (restaurant fermé le dimanche soir !).
4/ Signalons que ce circuit peut être découvert en deux fois, via deux boucles de 3 jours.
Première boucle (au départ de Boltaña) :
1. Boltaña -aguarta (35,6 km),
2. Laguarta - Albella (37 km, en incluant le court aller-retour entre San Juste et Fiscal, permettant une pause restaurant dans ce dernier bourg),
3. Albella - Boltaña (22 km, ou 43 si l’on pousse jusqu’à Ainsa comme indiqué ci-après).
Seconde boucle (au départ de Fiscal) :
1. Fiscal - Yebra di Basa (30 à 34 km selon l’option retenue pour l’ultime descente),
2. Yebra di Basa - Broto (42,6 km),
3. Broto - Fiscal (20 km).
5/ Je suggère sinon, ci-après, diverses variantes permettant de rallonger le circuit (notamment en passant 2 nuits consécutives dans tel ou tel hébergement). Si vous avez une semaine de disponible, je vous conseille également de réaliser sur 7 jours une boucle exceptionnelle autour d’Ainsa, combinant ce circuit de 5 jours et le tour du lac de Mediano (récemment mis en ligne par mes soins sur Utagawa). Les étapes sont alors les suivantes :
1. Ainsa- Humo di Muro (43 km),
2. Humo di Muro - Castellazo (53 km),
3. Castellazo - Laguarta (42 km, en passant par les hameaux de La Ripa et Gabardiella, avant de rejoindre Morcat – tronçon du circuit dit de l’Inframundo, n°12 de la Zona Zero -),
4. Laguarta - Yebra di Basa (51,8 km),
5. Yebra di Basa - Broto (42,6 km),
6. Broto - Albella (38,8 km),
7. Albella - Ainsa (30 km, via Boltaña et le sentier de Coda Sarten).
6/ Affaires à prendre
Compte tenu des températures souvent clémentes dans cette région (pas besoin de s’alourdir en vêtements) et de notre choix de manger et dormir chez l’habitant, notre sac était léger. Peu de poids à trimbaler, donc, en dehors du matériel minimal de réparation, de quelques vivres de course (qui ont constitué notamment notre seul repas entre Yebra et Broto, faute de lieu habité intermédiaire…) et enfin d’eau en quantité suffisante (pour cette même étape 3, faute de source entre la chapelle Santa Orosia et les hauts de Otal…).
7/ Le détail des 5 étapes
Etape 1 : Boltaña - Laguarta
Km 0, Alt 600 m.
• Boltaña, point de départ. Se garer sur le parking du monastère-hôtel situé sur la gauche avant l'entrée du bourg (un kärcher de nettoyage des vélos a même été installé dans le coin droit ; pratique pour la fin du raid !). L’itinéraire rejoint au bout de quelques hectomètres l’itinéraire balisé (n° 2) de la Zona Zero (qu’il suivra ensuite sur une bonne douzaine de kilomètres).
Km 6,2, Alt 790 m.
• Croisement de la piste de Morcat, au terminus d’une très belle section de « mise dans l’ambiance » majoritairement sur sentier (100 % cyclable pour les plus costauds).
Km 10,6, alt 1075 m.
• Morcat, village belvédère abandonné, que l'on atteint après une montée sur piste sans raideur excessive. Attention, la source du hameau, située au niveau d'une des dernières épingles de l'ascension, est souvent à sec...
Km 13,3 - Alt 1156 m
• Carrefour de route (la seule que l’on croise de la journée), après un court tronçon de monotrace (juste après Morcat) puis de piste. On suit alors cette route, habituellement dépourvue de la moindre circulation automobile, sur la gauche.
Km 14,4, Alt 1119 m
• Village d'El Pueyo de Morcat, seul point de ravitaillement en eau de l'étape (s'adresser à l'un des rares habitants, en comptant sur sa gentillesse). Peu après avoir dépassé El Pueyo (14,7 km), prendre à droite le joli monotrace qui dévale jusqu'aux « pardinas » de Montalban (17,8 km, 1003 m). Suivre alors une bonne piste partant vers la gauche et rejoindre ainsi le départ d'une piste secondaire (19,4 km, 1043 m) gagnant les ruines du village d'Alastrué (23,6 km, 1186 m, point haut de cette dernière piste à près de 1250 m).
Km 26, alt 1137 m
• Biban, autre village abandonné, qui s'atteint au terme d'un joli monotrace, se poursuivant même pour rejoindre idéalement les rives de l'Alcanadre (l'une des plus belles rivières d'Espagne, origine en aval des fantastiques canyons des Gorgas Negras et de la Peonera, hauts lieux du canyonning dans le monde) !). On finit par retrouver une piste (29,2 km, 1139 m), après une remontée en rive droite du torrent (quelques poussages, mais le sentier reste malgré tout relativement et majoritairement roulant). Cette piste rejoint le hameau (non abandonné) de Matidero.
Km 30,7 Alt 1178 m
• Départ du sentier de Laguarta (panneau signalétique), quelques hectomètres avant d’entrer dans Matidero. Début du tronçon le plus sauvage de l’étape (pas de balisage, cheminement entretenu de manière très épisodique), au cours duquel la trace découvre des zones de pâture, de forêt et de garrigue où l'on arrive presque tout le temps à rouler (3 ou 4 courts passages un poil scabreux néanmoins).
Km 35,6, Alt 1140 m
• Laguarta, village perdu et terminus de l’étape. Le sentier en provenance de Matidero a rejoint peu avant le torrent et une piscine naturelle (34,3 km, 1040 m), situés au pied du village. L’ultime montée s'effectue alors en poussant le vélo, la plupart du temps, car le terrain n’est guère propice (cailloux et broussailles, entre lesquels on doit chercher le meilleur passage, encombrent les terrasses autrefois cultivées et leur sentier de desserte). Ce n'est pas grave, l'arrivée est proche !
Infos à connaître pour l’étape 1 :
• Accueil à la Casa El Señor, auberge rurale plutôt miraculeuse dans ce coin perdu. ! Bonne adresse en tout cas (tous renseignements sur le site internet casaelsenyor.com) où l’accueil, les chambres et la literie sont irréprochables (penser toutefois à prendre votre passeport…).
• Il n’y a guère de manière de raccourcir l’étape, si ce n’est en rejoignant la route Boltaña-Laguarta, après Morcat ou encore depuis les pardinas de Montalban (via la bonne piste desservant au passage le village abandonné de Torrolluala del Obico).
• On peut inclure dans le parcours d’autres sections de monotraces pour le rallonger. Par exemple en remontant par la piste depuis Montalban jusqu’à Torrolluala del Obico, puis en empruntant le sentier (bien entretenu) qui rejoint Alastrué via Torruellola de la Plana (première section très chouette ; seconde obligeant à quelques poussages, pas très longs, en montée, alors qu’elle est intégralement cyclable dans l’autre sens ! -).
• A noter également dans les parages une autre adresse providentielle, l’auberge (à menus macrobiotiques…) de la Bardana, située au village de Gillué (à une dizaine de kilomètres à l’ouest de Laguarta.
• On peut rallonger éventuellement, à partir de Laguarta, le circuit de 2 journées, en allant dormir à Nocito et en profitant au passage de quelques-uns des plus beaux monotraces d’Espagne… 1/ A l’aller, passer par Matidero (jonction par route), Alastrué, Miz, Otin, le dolmen de Losa Mora, Nasarre, Bara et Used (l'enchaînement de sentiers entre Matidero et Bara est tout bonnement exceptionnel ; entre Bara et Nocito également ; voir sur Utagawa mes traces et conseils autour de Nocito…). 2/ Au retour, passer par le monastère de San Urbez (jonction par la route), la pardina Latorre, Abellada, Azpe (très belle série de sentiers entre San Urbez et Azpe), Ibirque (jonction par la piste du col Bail depuis Azpe), Gesera, Lasaosa (la section sur sentier Ibirque-Lasaosa est remarquable également) et Aineto (jonction par piste) pour aller dormir à Gillué (d’où l’on pourra aisément gravir le lendemain le col Gabardon et rejoindre ainsi le trajet de l’étape 3).
• Ne pas oublier l’eau, elle est rare (prévoir une capacité minimale de 3 litres si l’on effectue ce raid en plein été). Nous n’en avons trouvé qu’à El Pueyo del Morcat, tout au long de cette première journée.
Etape 2 : Laguarta-Yebra di Basa
Km 0, Alt 1140 m.
• A la sortie de Laguarta, en direction de Sabiñanigo (juste après les poubelles), on tourne à droite pour suivre une mauvaise piste oscillant à flanc (ayant servi à poser les pylônes d’une ligne à haute tension). Au bout de 1,9 km, après avoir contourné par la droite le grillage protégeant une truffière et une retenue d’eau, on tombe sur une piste en meilleur état (du moins au début), cyclable jusque vers 1450 m malgré des rampes parfois fort raides.
Km 7,4, Alt 1608 m
• Le col Gabardon, situé au sud de la Peña Cancias (un des très beaux sommets belvédères du piémont sud-pyrénéen) est enfin atteint après avoir surmonté quelques sections fort dégradées, permettant de basculer au niveau d’un premier col dans un versant boisé où circule une piste forestière dont le point haut se situe vers 1665 m.
Km 15, Alt 780 m
• Le hameau de San Juste conclut une longue et très belle plongée, empruntant presque tout le temps une agréable monotrace (bien entretenue car empruntée dans le cadre d’un trail reliant le bourg de Fiscal à la Peña Cancias). Ne pas rater la bifurcation de la sente finale qui pique à droite sous le tronçon de piste terminal.
Km 17,5, Alt 770 m
• La civilisation et Fiscal sont rejoints après une agréable section (de chemins et sentiers ruraux) longeant le rio Ara. Plusieurs possibilités pour boire un verre et se restaurer (la trace passe ainsi devant l’hôtel-restaurant Casa Cadena, qui nous a permis de reprendre quelques forces et d’attendre que la température de la mi-journée retombe un peu…).
Km 24,5 Alt 1045 m
• Le village de Bergua (en cours de restauration) conclut une première section (2 km de monotrace le long du rio Ara puis 5 km de route mal goudronnée). Une longue piste forestière, presque tout le temps à l’ombre et roulante (le plus souvent à plat ou peu pentue), la prolonge alors, desservant au passage les ruines de Sasa (29,7 km, 1226 m) puis l’abri-refuge Lavalle (39,2 km, 1520 m).
Km 42,4, Alt 1550 m
• L’itinéraire atteint le plateau et la chapelle perchés de Santa Orosia, site splendide et haut lieu patrimonial aragonais (puisque dédié à l’une des saintes suppliciées les plus célèbres du pays !). Une source pérenne s’y trouve (sous la chapelle) et au moins trois descentes différentes sont alors possibles
Km 51,8, Alt 870 m
• Le village de Yebra di Basa, qui conclut l’étape du jour, peut s’atteindre d’au moins trois manières depuis la chapelle santa Orosia. 1/ La plus remarquable (et la plus directe) passe par les ermitages sous roche (et sous cascade, quand la saison n'est pas trop sèche) situés au sud de la chapelle (c’est la voie classique des randonneurs montant depuis Yebra, c’est aussi l’itinéraire le plus intéressant du point de vue patrimonial). 2/ La plus intéressante à VTT est celle qui part vers l’Ouest en direction de Isun de Basa. 100 % cyclable, quoique exposée par endroits, elle s’enchaîne idéalement avec des monotraces de part et d’autre de la localité d’Osan di Basa et n’a comme inconvénient que celui d’un conclusion sur route, obligatoire (sur près de 3 km) avant de rejoindre Yebra. 3/ Connaissant déjà ces deux premières descentes (au demeurant d’un grand intérêt à VTT), nous avons suivi et découvert la troisième d’entre elles, passant par San Roman di Basa (46,5 km, 1015 m, splendide et aérienne DH comprenant seulement 2 marches infranchissables à vélo) et rejoignant ensuite Yebra (51,8 km, 870 m) par le GR 16. La fin du parcours se caractérise par une jolie section de sentier sous San Roman, une courte remontée (poussage obligatoire en deux temps) permettant de rejoindre un plateau en partie cultivé et enfin une monotrace parcourant un secteur pittoresque de marnes. Attention, la trace (qui descend sur Yebra par une piste) ne suit pas cette ultime section (un incident ayant abrégé cette fin d’étape). Le sentier historique (préférable pour conclure en beauté la journée !), qui n’est pas balisé dans sa courte traversée du plateau (pour cause de travaux agricoles l’ayant sans doute condamné à jamais), se retrouve quant à lui à son extrémité Est (il démarre en rive gauche d’un thalweg en partie boisé).
Infos à connaître pour l’étape 2 :
• Accueil a l’auberge de Yebra di Basa (lieu fonctionnel mais sans charme particulier - accueil impersonnel -, chambres et petits déjeuners, pas de repas). Un très honnête restaurant (El Rincon de Valero) se situe dans le village même mais il ferme certains soirs (de sorte que l’on se contentera alors des chips et des magnums du snack-bar de la piscine ou de celui du camping…). Renseignements sur le site internet alberguedeyebra.com.
• On se trouve en fin d'étape sur le territoire du centre VTT de l'Alto Gallego (bttpirineosaltogallego.com) ; ne pas hésiter avant le raid à télécharger les fiches descriptives et les traces des descentes échevelées (DH) et parcours avoisinant la chapelle Santa Orosia.
• Le choix de Yebra comme lieu d'étape s'est imposé car le village est plus typique que la ville proche de Sabiñanigo, tandis que dans les autres villages situés au pied de Santa Orisia (Olivan, Larrede...), les lieux d'hébergement ne sont pas évidents à trouver (si vous avez trouvé quelque chose, merci de transmettre !).
Etape 3 : Yebra di Basa-Broto
Une grande étape, dans des paysages de grande solitude. Et une descente finale d'enfer...
Km 0, Alt 870 m.
• Suivre l’excellente piste (excellemment tracée et parfaitement entretenue) permettant de remonter jusqu’à la chapelle Santa Orosia (11,5 km, 1550 m).
Km 13,9, Alt 1672 m
• On atteint le premier point haut de l’étape, au niveau d’un carrefour de pistes où l’on laisse filer sur la gauche celle qui traverse le flanc supérieur de la montagne tutélaire de l’Oturia. Il s’ensuit une longue descente sur piste pastorale (avec courtes remontées) rejoignant un carrefour de pistes (18,6 km, 1475 m, panneau signalant l’entrée sur le territoire communal de Broto) où il faut freiner son élan (on a tendance à poursuivre tout droit...) et partir à gauche.
Km 19,8, Alt 1433 m
• On se trouve alors au niveau du col de Basaran (proche du village éponyme, désormais à l’état de ruine), carrefour de pistes. Suivre tout droit en direction du port d’Ainielle (22,5 km, 1486 m, le nom est celui d’un village proche, théâtre du célèbre roman « Pluie jaune » de Julio Llamazares, narrant la fin de vie de son dernier habitant et de son chien, édité en poche aux éditions Verdier).
Km 26,8, Alt 1465 m
• On atteint Otal, autre village abandonné, après une courte section de piste (après avoir dépassé le port d’Ainielle) puis une traversée à flanc sur monotrace un brin cahoteuse (mais majoritairement cyclable, quoique obligeant à quelques poussages dans ses 4 tronçons en montée).
Km 33,5, 1922 m
• On achève au port de Yosa, 2 km après un premier col (1882 m), la rude mais régulière ascension sur piste, démarrant juste au-dessus de l’église d’Otal (attention, la piste d’Otal, relativement récente, n’est pas repérée sur certaines cartes du secteur). Une interminable descente sur monotrace (fleuron de la Zona Zero, côté vallée du rio Ara) démarre alors pour rejoindre les ruines et l’église de Yosa (37,1 km, 1374 m). Noter que la montée au port de Yosa, en versant ouest (donc en plein soleil l’après-midi), peut se révéler pénible à cause de la chaleur. Heureusement (info en or, qui nous a sauvé la vie !), on trouve une source abondante en contrebas de la piste, au moment où celle-ci croise le balisage et le sentier GR Otal-Yosa (au-dessus de la limite forestière, peu avant l’ultime épingle précédant la longue rampe finale conduisant au premier col à 1882 m). On repère cette source à la présence des troupeaux qui s’agglutinent autour, car elle alimente un abreuvoir). Compter 10 minutes de marche aller-retour (et rester prudents avec les vaches car vous êtes sur leur terrain et vous allez devoir les déranger…).
Km 42,6, Alt 900
• Fin d’étape à Broto, station touristique (fort animée en été) de la vallée du rio Ara. La fin de la monotrace de descente (panoramique et souvent technique à souhait, longue de près de 8 km), au niveau de la localité d’Oto (41,1 km, 927 m) a précédé de peu l’arrivée dans cet ultime village de la journée.
Infos à connaître pour l’étape 3 :
• Il est facile de s’héberger sur Broto (pas loin d’une dizaine d’hôtels, restaurants nombreux également). Nous avons adopté au dernier moment l’hôtel Gabarre, bien situé (sur la grand rue), fonctionnel, aux tarifs raisonnables et…, doté d’un garage sécurisé spécial vélos.
• On peut rallonger l’itinéraire en restant une nuit de plus à Broto. Les très longues descentes del Cebollar (au-dessus du village de Torla) et de la Fuente del Gato (à l’aplomb même de Broto), respectivement circuits 29 et 30 de la Zona Zero, sont en effet à connaître absolument.
Etape 4 : Broto-Albella
Une étape le long du rio Ara et en balcon en rive gauche de la vallée, plus facile que les 3 qui l’ont précédée. Avec comme intérêt celui d’emprunter deux très belles sections de monotrace (la première avant Fiscal, la seconde à l’aplomb des ruines du hameau de Lacort). La proximité de la route permet de l’écourter à tout moment.
Km 0, Alt 900 m
• On sort de Broto en suivant la route en direction de Fiscal puis l’on grimpe sur la gauche jusqu’au village (habité !) de Buesa. Deux sentiers permettent en théorie de descendre depuis Buesa sur Sarvisé. Le premier, démarrant au niveau des premières maisons et non entretenu (donc très embroussaillé), est devenu impraticable à vélo. Le second plonge sous l’église et alterne sections cyclables avec quelques passages bien chaotiques…
Km 5, Alt 880 m
• La descente s’achève à l’entrée du village de Sarvisé (que l’on peut rejoindre directement par la route, si l’on décide de s’épargner la descente cassante et technique de Buesa). De l’autre côté de la route, on va enchaîner ensuite une série de sentiers et de chemins ruraux en rive gauche du rio Ara. On rejoint à nouveau la route principale (km 9,7), après un bref poussage en côte, et l’on rejoint ensuite Asin de Broto par une piste fort raide puis un sentier semi roulant (si l’on veut s’épargner les 3 km les plus pénibles et moins intéressants de l’étape, quitter la trace au niveau d’une pisciculture et gagner Asin par la route).
Km 12, Alt 1085 m
• Asin de Broto a le double intérêt de disposer d’un bar-auberge (Casa Notario, où l’on peut manger et dormir) et d’être le départ d’une très belle et longue jonction sur monotrace (à flanc de montagne la moitié du temps, jusqu’à l’enclos pastoral du Chinebral, 16,4 km, 1163 m), récemment incluse dans les itinéraires de la Zona Zero (boucle 32).
Km 19,5, Alt 785 m
• Le sentier achève sa folle dégringolade finale à proximité immédiate du pont de Fiscal, bourg à nouveau au rendez-vous du raid, 2 jours après sa seconde étape (au moins 4 possibilités de restauration : à l’hôtel du Rio Ara, à celui de la Casa Cadenas, au restaurant El Asador et au camping). L’itinéraire passe alors en rive droite de l’Ara, avant de retrouver la rive gauche et la grande route parcourant la vallée (24,7 km).
Km 27,4, Alt 713 m
• Après une courte section, pour partie sur route, pour partie en l’évitant (nouveau balisage de la Zona Zero, passant désormais par les hameaux de Javierre et Santa Olaria), débute ici la piste desservant deux hameaux abandonnées (Sasé et Muro). Après 5 km d’ascension régulière on arrive au départ (32,7 km, 1081 m) d’une des descentes phares de la Zona Zero (circuit n°28).
Km 38,8, Alt 800 m
• Hameau (habité) d’Albella. Terminus de l’étape à la Casa Arana, splendide demeure d’époque rénovée en hôtel touristique, à l’imbattable rapport qualité-prix (et au magnifique gazon !). Auparavant, on aura retrouvé la route au niveau des ruines de Lacort (36,1 km, 708 m), après 3,4 km d’un splendide monotrace, puis réalisé une paisible remontée qui démarre après un ultime franchissement du rio Ara, qu’autorise la passerelle piétonnière de Lacort.
Infos à connaître pour l’étape 4 :
• A noter que (pour ceux que les efforts supplémentaires n’effraient pas), à partir de Lacort et en descendant la vallée le long de sa route principale, on pourrait rejoindre très rapidement celle (semi-groudronnée) qui monte au village de Campol. On redescendrait dans ce cas par le sentier de la Caparra, remarquable monotrace de presque 5 km de longueur (jonction dans ce cas avec Albella via le pont et les ruines de Janovas, situés à l’entrée amont du défilé éponyme)…
• J'ai mis en ligne sur Utagawa, il y a deux ans, diverses boucles réalisées depuis Albella, lieu très pratique pour rayonner 3 ou 4 jours (que l'on retrouve sur un moteur de recherche via les mots clés Utagawa Fiscal).
Etape 5 : Albella-Boltaña
Une demi-étape en guise de conclusion, avec une première partie sauvage, sur de vieilles pistes passablement dégradées, et un final en apothéose le long du rapide et joueur sentier de la Coasta.
Km 0, Alt 800 m
• On quitte Albella par une petite route de campagne rejoignant les hameaux de Planillo et de San Feliz (2,6 km). A l’entrée de ce dernier, démarre une piste qui va longtemps osciller au-dessus de l’altitude 800 m, avant de gagner de l’altitude.
Km 7,7, Alt 975 m
• Village (habité) d’Aguilar, qui s’atteint après un bout de sentier. A noter que c’est le départ d’une superbe descente (monotrace d’environ 4 km) rejoignant Janovas (si l’on souhaiter passer 2 nuits à Albella, on se réfèrera à une de mes traces anciennes sur Utagawa, intitulée « le paradis Fiscal », enchaînant le temps d’une bonne demi-journée, les 2 descentes « spots » de Campol et d‘Aguilar). Suivre alors la piste (donc plusieurs passages sont extrêmement ravinés et devenus impropres à toute circulation automobile) rejoignant la route Boltaña-Laguarta que l’on suivra alors en descente sur environ 2 km.
Km 13,7, Alt 1042 m
• Hameau (rénové) de Campodarbe. Juste avant de l’atteindre, une bonne piste file sur la droite et s’élève jusqu’à un point haut (Km 15, 1105 m) où débutent les 5 km de descente de la Coasta, s’achevant à l’entrée du camping de Boltaña (20 km, 613 m).
KM 21,8, Alt 600 m
• Fin de l’étape et du raid au niveau du parking du monastère. La boucle est bouclée, ouf !!! Ceux qui ont encore des forces et qui voudront alors se faire plaisir pourront s’amuser à parcourir le remarquable circuit n°5 de la Zona Zero, long de 21 km et dévalant les monotraces de Coda Sarten et de Peñas Cinglas (il gagne en rive gauche du rio Ara la citadelle d’Ainsa avant de revenir sur Boltaña par le sommet de Partara et le village de Guaso)…
Départ de Boltaña, localité proche d'Ainsa (6 km). Compter 3 h depuis Toulouse ou Pau (sortie d'autoroute Lannemezan puis route de la vallée d'Aure et du tunnel de Bielsa).
Itinéraire pour cyclistes avertis, du fait notamment de l'isolement des secteurs traversés et de certaines difficultés particulières (passages ponctuellement exposés, descentes longues et fatigantes où la vigilance doit être permanente...).
Peu de portage :
Etape 1 : poussages après Biban (pour remonter du lit de l'Alcanadre et rejoindre la piste de jonction avec Matidero) et sous Laguarta.
Etape 2 : tout passe pratiquement à vélo (sauf une section cahoteuse, vers l'altitude 1400 m, sous le col Gabardon puis quelques passages après la chapelle Santa Orosia (plus ou moins courts selon la descente choisie).
Etape 3 : le sentier précédant Otal comprend 4 sections de poussage-portage (la plus longue étant la dernière, entre le torrent et le village).
Etape 4 : portages ponctuels et poussages avant Asin.
Etape 5 : portages ponctuels (la piste empruntée de part de d'autre d'Aguilar étant parfois en très mauvais état).
Itinéraire réalisable une très grande partie de l'année (y compris en hiver si le temps est ensoleillé). Le risque de neige est le plus fort de part et d'autre du port de Yosa, point culminant de l'itinéraire à environ 2000 m d'altitude (surtout en janvier et février; par contre, en décembre et mars, le terrain est souvent sec...).
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