UtagawaVTT

Mirak a écrit : 17 janv. 2019, 22:28 Salut,
Étant vttiste et chasseur, je ne peux que vous conseillez d'éviter les zones de battue lors de vos randos. Si vous vous approchez de chasseurs, demandez si vous pouvez passer et si cela ne pose pas de problème. Pensez à vous signaler et à être vu.
@+

gerald_83 a écrit : 18 janv. 2019, 00:00 Quand on a fait une sortie d'une quarantaine de Km et qu'on tombe sur une battue il n'est pas toujours facile de la contourner sans faire un gros détour. De toutes façons aucune loi n'impose aux chasseurs d'interdire le passage de VTTistes ou de randonneurs. Bien sûr il est plus prudent d'éviter de passer dans une battue, prudence oblige, un accident est si vite arrivé ................

CRAM31 a écrit : 18 janv. 2019, 08:04 Bonjour

Si vous n'entendez pas les chiens hurlés , pas de pb , vous pouvez passer. Si vous entendez les chiens , cela veut dire qu'ils sont au cul du bestiau
la tension monte et les guetteurs/tireurs deviennent nerveux . Dans ce cas là , ils faut mieux être prudent et se détourner .
La solution pour limiter les accidents , c'est de revenir à la chevrotine , portée de 100 mètres maxi , la balle c'est 1 km mini , je ne sais pas si les
chasseurs envisagent cette solution.
Bon balade à vous tous.

Daraja a écrit : 18 janv. 2019, 15:20 Bonjour,

Je crois plutôt que "Aucune loi n'autorise les chasseurs à interdire ..."
En effet, s'ils le pouvaient, ils le feraient sans doute.

Allez, bonnes balades et @+

Daraja

Le 5 décembre 2015, un trailer de 43 ans et sa femme ont empruntent un parcours en pleine forêt en direction du sommet de Semnoz. Le trailer connaissait parfaitement bien ce sentier.
Elle 1,50 m, était vêtue d’une tenue de sport de couleurs vives. Lui 1,83 m portait une tenue noire et grise avec un sac à dos jaune.
« J’ai tiré dans la précipitation, j’ai mal identifié ma cible » a déclaré le jeune chasseur.
En effet, le chasseur de 19 ans qui s’était saisi d’une arme à feu qui n’était pas la sienne, avait couru en direction du soi-disant animal et tiré sur « une masse sombre en contrebas » sans visibilité. Malheureusement, touché à la tête, le trailer de 43 ans, père de famille, était mort sur le coup dans les bras de sa femme.
« Pour moi c’était un sanglier » a reconnu à la barre le chasseur. « Vous aviez présent à l’esprit le fait qu’il pouvait y avoir d’autres personnes que votre groupe sur les lieux ? » lui demande le président Pierre Viard. « Non » lui répond simplement le jeune homme.

Le chasseur​ de 22 ans qui a tué un vététiste à Montriond (Haute-Savoie) le 13 octobre dernier en lui tirant dessus, a été placé en garde à vue samedi dernier et présenté, lundi, à un juge d’instruction de Thonon-les-Bains.
Lors de son audition, le jeune homme a expliqué avoir vu, visé et tiré un sanglier à découvert, qui se situait à environ 25 mètres de lui, indique ce vendredi Le Dauphiné. Les autres membres du groupe de chasse, présents le jour du drame, n’auraient en revanche pas vu le sanglier.

Larsen a écrit : 18 janv. 2019, 17:57 Ah le sujet de la mort qui tue .... nous on les recense , on a déjà fait 6 pages depuis octobre 2018, des faits divers , de grotesque à dramatique ...
http://cylocrampons.fr/forum/viewtopic. ... &start=255

Merci de nous épargner ces débats , et d'avoir une pensée pour le vététiste des Gets et le traileur du Semnoz

Le 5 décembre 2015, un trailer de 43 ans et sa femme ont empruntent un parcours en pleine forêt en direction du sommet de Semnoz. Le trailer connaissait parfaitement bien ce sentier.
Elle 1,50 m, était vêtue d’une tenue de sport de couleurs vives. Lui 1,83 m portait une tenue noire et grise avec un sac à dos jaune.
« J’ai tiré dans la précipitation, j’ai mal identifié ma cible » a déclaré le jeune chasseur.
En effet, le chasseur de 19 ans qui s’était saisi d’une arme à feu qui n’était pas la sienne, avait couru en direction du soi-disant animal et tiré sur « une masse sombre en contrebas » sans visibilité. Malheureusement, touché à la tête, le trailer de 43 ans, père de famille, était mort sur le coup dans les bras de sa femme.
« Pour moi c’était un sanglier » a reconnu à la barre le chasseur. « Vous aviez présent à l’esprit le fait qu’il pouvait y avoir d’autres personnes que votre groupe sur les lieux ? » lui demande le président Pierre Viard. « Non » lui répond simplement le jeune homme.

Le chasseur​ de 22 ans qui a tué un vététiste à Montriond (Haute-Savoie) le 13 octobre dernier en lui tirant dessus, a été placé en garde à vue samedi dernier et présenté, lundi, à un juge d’instruction de Thonon-les-Bains.
Lors de son audition, le jeune homme a expliqué avoir vu, visé et tiré un sanglier à découvert, qui se situait à environ 25 mètres de lui, indique ce vendredi Le Dauphiné. Les autres membres du groupe de chasse, présents le jour du drame, n’auraient en revanche pas vu le sanglier.