Euhhh alors si ça peut aider, et au risque d'aller à contre-courant :
J'ai fait 5000 km avec une cassette Alivio et une chaine IG31 (je crois), à la fin la chaine avait dans les 2% d'allongement, elle était lubrifiée à la graisse, et nettoyée quand j'avais le temps, elle a aussi fait un certain nombre de km à sec. Ça s'est mis à déconner d'un coup à la faveur de l'hiver, mais avant ça, ça marchait nickel. Ceci étant dit, je suis léger donc moins puissant, ça a peut être son importance, mais je passe mes vitesses à la volée en danseuse sans ménager la transmission, je n'y fait pas vraiment gaffe, il faut que ça marche... Donc perso, 2500km, je considère que c'est peu.
A l'extrême, il y a la méthode Luidji76, qui consiste à faire tourner 3 chaines tous les 200 km environ (enfin je crois, j'écris sous ton contrôle Luidji...), et qui permet de faire pas loin de 10 000km avec une seule transmission !
Pour ce qui est des shifters / dérailleurs, là encore, je roule avec un vélo en tout XT et un autre en shifter Alivio / dérailleur STX-RC (
Ben oui, le Deore n'existait pas encore
). Euhhh certes le XT a deux fois plus de kilomètres (10 000 environ), mais les leviers Alivio passent nettement mieux chez moi, les XT sont durs et l'indexation se ressent moins.
(Précision qui a sont importance : tout le matos cité ci-dessus date de...1999 !
)
Bébien a écrit :(...)
En tout cas avec ces infos on voit clairement que c'est plutôt à cause du poids que le prix grimpe

N'IMPORTE QUOI!(...)
C'est vrai que dans le prix du matos "light", il y a 50% de marketing. Toutefois, il faut aussi prendre en compte que, par exemple, une cassette de base est juste emboutie et assemblée, point barre. Une cassette haut de gamme est emboutie, ré-usinée, parfois le traitement de durcissement est différent, il faut y rajouter un spider en alu, une pièce supplémentaire à usiner aussi, etc... Tout ça, c'est du temps de production supplémentaire et de l'outillage, et, à la fin, il y a moins de matière mais ça a quand même coûté plus cher à fabriquer. Et, les écarts de coût de revient sont multipliés par le coef de marge bénéficiaire...